« Les transports structurants doivent être déployés en fonction de l’achalandage potentiel – et non des votes – si on veut que la facture présente un rapport coûts-bénéfices avantageux », argue Stéphanie Grammond.
Le CEME estime que cet événement risque de subir le sort des promesses précédentes et d’échouer à générer le changement en profondeur dont l’Est a tant besoin. Plus que jamais, le CEM-E demande que l’intérêt des citoyens de l’Est soit le principe qui l’emporte sur tous les autres. Il y va de notre milieu de vie et de celui de nos enfants.
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