Mot du Président
La bataille n’est toutefois pas gagnée pour autant.
La bataille n’est toutefois pas gagnée pour autant.
À l’heure des changements climatiques, le choix des moyens de transport importe de plus en plus.
« C’est important pour moi qu’il vienne dans Lanaudière. Les personnes qui travaillent là-dessus, incluant [la ministre des Transports] Geneviève Guilbault, savent très bien que le projet doit avoir une portion qui vient dans Lanaudière. On va essayer de vous annoncer ça le plus vite possible », a-t-il insisté, en refusant de s’avancer davantage.
« Il faut que notre arrondissement devienne plus résilient et agréable à vivre pour faire face aux changements climatiques et aux différents événements climatologiques auxquels on est obligé de faire face », déclare Véronique Belpaire.
C’est clair pour tout le monde impliqué dans ce dossier que sans projet de transport collectif et structurant dans cette zone qui souffre historiquement d’un manque d’accessibilité, le développement souhaité ne se fera pas. En parallèle, il faudra qu’il y ait des ententes d’investissements majeurs avec Québec et Ottawa pour doter ce territoire d’infrastructures publiques (aqueduc, égout, routes, énergie, etc.), car Montréal et Montréal-Est ne peuvent seules assumer ces coûts astronomiques à venir.
L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) prévoit livrer d’ici la fin octobre des études sur la possibilité d’un service rapide par bus (SRB), d’un tramway ou d’un système de transport léger sur rail (SLR)
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